luminaire ce composition / Mathis Marty

NOTE:

longue histoire du cuir =les peaux de betes

on eleves pas un animal pour son cuir on le recupere comme des dechets d’animaux alimentaire

recherche sur l’histoire du cuir

technique,histoire ect

matiere anti consumériste car longue duré de vie, réparable

a l’image de comment devrait etre notre société

interessant de le mettre en rapport avec le numérique

travaille du cuir decoupe,former, outils pour travailler le cuir

hybride circuit electronique devient le graphisme

comment lartisant peut continuit a travailler son cuir sans denaturer sons geste ?

comment reparer un objet en cuir avec le numérique

Les métiers du cuir sont nombreux : bourrelier, sellier, harnacheur, relieur, cordonnier, bottier…

Maroquinerie outil

L’abat-carre et la bissonette

Petites gouges permettant d’abattre la carre du cuir, ou en d’autres termes d’arrondir l’arrête sur la tranche d’une pièce de cuir dans un but d’esthétisme et de confort

Petit marteau bombé servant à marteler les coutures afin de refermer les trous et d’écraser le fil dans la cire afin de le protéger.

Le coupe bande Outil de coupe permettant de créer facilement des bandes de cuir à la largeur voulue. Je l’utilise pour la découpe des ceintures, sangles et lanières.

Le beunisso Petit outil en bois pourvu de gouttières qui sert à lustrer les tranches cirées du cuir afin de les rendre lisses et de les protéger.

Le couteau à parer Il permet d’enlever de la matière au cuir afin de réduire son épaisseur. Il en existe de nombreux modèles. Celui que j’utilise ressemble à s’y méprendre à un épluche-patates !

Le formoir Outil en bois permettant de tracer des rainures le long des bordures du cuir. Ces rainures peuvent être purement esthétiques ou servir de guide pour la couture au point sellier.

Couteau demi lune Couteau emblématique de l’artisan du cuir, sa forme arrondie et ses deux pointes affûtées lui permettent d’effectuer découpes et parage (réduction de l’épaisseur du cuir).

Le coupe lacet Il permet de découper des lacets de cuir épais. Je préfère cette méthode à l’achat de lacets prédécoupés, car je peux ainsi assortir les lacets à l’objet sur lequel ils vont finir.

La sriffe à molette Petite roue dentée pourvue d’un manche et permettant de marquer les points à espaces réguliers. Ces marques seront ensuite percées pour effectuer une couture au point sellier.

Les alênes L’alêne affûtée (dite “aux pinces” ou “losange”) sert à percer le cuir pour la couture au point sellier. L’alêne ronde sert à élargir des trous déjà percés sans prendre le risque de couper le fil de couture.

La cire d’abeille Elle permet de cirer les fils de couture afin de les protéger contre l’usure du temps, mais également de traiter les tranches du cuir pour en augmenter la longévité et l’esthétique.

Ciseaux à cuir

Fer et emporte pièce pour trouer le cuir

gainier

modelage du cuir reliefe du cuir

Les différents cuirs

Les cuirs sont séparés en deux grandes familles : les cuirs provenant d’animaux de la ferme (soit la plupart des types de cuirs) et les cuirs dits “exotiques”qui bénéficient de grains particuliers comme l’alligator, l’autruche, le serpent ou le galuchat.

Pour les articles de petite maroquinerie, les artisans travaillent généralement à partir :

• de cuirs d’agneau qui sont réputés pour leur toucher doux et soyeux et sont particulièrement adaptés aux petites pièces raffinées.

• de cuirs de vachette qui sont plus rigides et permettent de mettre davantage en valeur les pièces et d’assurer une meilleure tenue aux articles de maroquinerie du type sacs et besaces.

Les plus beaux cuirs proviennent de cuirs français, italiens et espagnols.

Le tannage

Quel qu’il soit, le cuir doit être tanné. Il existe de multiples méthodes de tannage, mais les deux suivantes sont les plus courantes

• Le tannage au chrome : technique la plus répandue, cette méthode est moins coûteuse, mais très polluante. Les cuirs issus de cette méthode vieillissent souvent mal et peuvent provoquer des réactions allergiques.

• Le tannage végétal : plus chers, les cuirs issus de tannage végétal sont traités avec du tanin qui est une méthode naturelle. Ces cuirs sont plus beaux à l’œil et se patinent avec le temps. Il va sans dire que les artisans maroquiniers français optent sans hésitation pour cette technique de tannage.

Les métiers du cuir

• Le Tanneur transforme les grandes peaux brutes (vache, veau, ..) en cuir imputrescible par l’emploi du tanin. Le tannage peut s’effectuer avec des minéraux (chrome) ou être végétal ou combiné (extraits de tannants végétaux composés minéraux et d’huiles végétales, animales ). Pour rendre les peaux ou le cuir utilisable, le tanneur doit respecter plusieurs étapes de préparation et de traitement : nettoyer les peaux et le cuir, les assouplir, les saler, les épiler, et les huiler. Tout au long du processus, le tanneur veille à l’état des peaux afin d’ éliminer les imperfections même s’ il peut en subsister.

le point sellier

Cuir repoussé

Technique de travail sur cuir en faisant ressortir un motif, par martelage à l’aide d’outils spécifiques sur du cuir végétal.

Modelage sur cuir

Technique de travail sur cuir faisant apparaître un motif en relief en modelant un objet.

Histoire du cuir

La première découverte d’importance fut le tannage à la fumée qui donne une plus grande résistance au cuir. Cette technique de travail du cuir découle du fait que les peaux servaient à recouvrir les cabanes. La fumée des foyers tannait lentement et naturellement les peaux. L’homme réalisa, par expérience que cela avait un intérêt. On retrouve cette méthode avec les indiens et leurs tipis, et elle est encore d’actualité aujourd’hui, dans certaines régions de Chine.

Des peaux se retrouvèrent immergées dans un point d’eau entouré d’arbres. Des écorces et des feuilles s’y trouvaient qui jouèrent le rôle d’agent tannant. Le cuir ainsi obtenu était alors bien plus souple. Ce n’est que bien plus tard que des agents tannants chimiques intervinrent pour encore faire progresser le tannage.

il devient dure pret du feu

pendant l’égypte les romain le cuir a commencer a prendre une grande importance et etait vue comme un materiaux il a ete utilisé dans les premieres chaussures sous formes de sandales les armures par sa forte absorbtion dess coups accessoir de voyages, ammeublement manuscrit et reliures utilisation d’extrait de plantes de sel et de vinnaigre pour les tannages

c’est dans cette periode qu’il prend une dimention de pprrotection comfort et esthetique

le moyen age

vetement chaussures fermer chaussette les nobles commes les paysans avais accees au cuir de facon plus ou moin travailler mais elle rester une matiere accessible

armures plus devolepper comme les cuirasses renforcer en metal les brassards les jambiere et les gantelets

le debuts de la scelleries

la maroquinerie

la renaissance

le cuir devient un materiaux tres prisé utilisé dans le luxe et devient moin accessible au millieux populaire

premieres approches

Origines et techniques de travail du cuir :

L’histoire du cuir remonte à des millénaires, ses origines étant intimement liées à la nécessité de protéger et d’habiller l’homme primitif. Les premières techniques de tannage étaient rudimentaires, telles que le tannage à la fumée utilisé par les tribus indigènes. Cette méthode, découle de l’utilisation des peaux pour recouvrir les cabanes, où la fumée des foyers tannait lentement et naturellement les peaux, leur conférant une plus grande résistance.

Plus tard, lors de l’Égypte ancienne et de l’Empire romain, le cuir a pris une importance significative, devenant un matériau essentiel dans la fabrication de chaussures, d’armures, d’accessoires de voyage, d’ameublement et de reliures de manuscrits. Les Romains ont été parmi les premiers à développer des techniques de tannage plus sophistiquées, utilisant des extraits de plantes, du sel et du vinaigre pour traiter les peaux.

Évolution sociale et culturelle du cuir :

Au Moyen Âge, le cuir est devenu un matériau incontournable pour les vêtements, les chaussures et les armures, accessibles tant aux nobles qu’aux paysans. Les artisans développaient des techniques de travail plus avancées, notamment dans le domaine de la sellerie et de la maroquinerie, répondant aux besoins variés de la société médiévale.

À la Renaissance, le cuir a connu un essor dans le luxe, devenant moins accessible aux classes populaires. Il était utilisé dans la confection d’articles haut de gamme, témoignant du statut social et de l’esthétique recherchée par l’aristocratie de l’époque. Les techniques de travail du cuir se sont affinées, permettant la création d’articles plus complexes et raffinés.

Artisanat du cuir et durabilité :

Aujourd’hui, l’artisanat du cuir représente un métier d’exception, où les artisans maîtrisent un large éventail de techniques et d’outils pour façonner ce matériau noble. La durabilité du cuir en fait un choix anti-consumériste, avec sa longévité et sa capacité à être réparé et entretenue au fil du temps.

premieres pistes.