Intro
Ce projet s’articule autour d’une problématique : comment mêler l’artisanat du cuir avec le numérique ?
Avant tout, pour pouvoir se pencher sur la question, il faut se documenter. Voici quelques sources que j’ai pu trouver pour en savoir un peu plus sur cette matière qui fut vivante et qui l’est encore un peu.
Il faut aussi noter une source très intéressante et complète, le site :
Fact Sheets
On peut y retrouver tout un tas d’information comme des pdf détaillés sur l’impact environmental, des guides de terminologie des pdf d’information sur les différents types de manufactures.
Que fait on de tout ca ?
Maintenant qu’on en sait un peu plus sur le cuir on peut tenter de répondre à la probématique : comment mêler l’artisanat du cuir avec le numérique ?
Le numérique c’est pour moi de l’interactivité de la programmabilité de l’adaptation mais c’est aussi souvent froid et éloigné des besoin humains. C’est souvent aussi un vecteur de pollution car très difficile à réparer et à recycler.
Le cuir quand à lui est un matériaux durable, réparable qui à traverser toutes les époques sans se démoder. Si on peut le déconsidérer pour des raisons éthique il est plus compliqué de le critiquer sur le plan écologique. Il est vivant et proche de l’humain.
Ces deux « matière » sont diamétralement opposées et pourtant elles possèdent chacune des qualité qui peuvent se compléter.
Un projet interactif et sensoriel
La notion que j’aimerais abordé à travers ce projet c’est : comment le numérique peut augmenter respectueusement notre vie. Augmenter l’humain, non pas en lui donnant accès a des outils extérieurs pour s’informer, mais créer les outils qui permettront à l’humain de s’améliorer lui même.
Je trouve que la montre est un bonne exemple pour illustrer ce sujet. Ici on donne la possibilité à un individu de se renseigner sur l’heure. Mais ce n’est pas l’individu qui connait l’heure, il la demande simplement à l’horloge. On pourrait imaginer un outil numérique qui permettrait d’améliorer la perception du temps d’une manière général. Cela ne remplacera jamais la précision du quartz mais peut être que les bénéfices sur le bien être pourrait surpasser la spécialité suisse.
Mes premières idées
Il faut noter qu’une des characteristique principale de ce projet c’est aussi de travailler les chutes de cuir.
Je me suis d’abord demander comment l’information pourrait etre transmise à travers le cuir. C’est la vibration qui m’es venu. J’aime l’idée que la vibration n’est perseptible que par une seule personne. Elle pourrait n’etre ni vue ni entendu. Elle se rapproche presque d’une sensation interne, comme d’une émotion.
J’ai donc pensé à un mur constitué de chutes de cuirs qui pourrait vibrer en fonction de la position de l’utilisateur.
Finalement je ne suis pas sur que la vibration invisible sois adapté à ce projet, le concept me plait, mais ne permet pas d’explorer la diversité de matière que l’on peut retrouver dans les chutes de cuir.
Cette vibration pourrait augmenter pour devenir mouvement. Ce serait intéressant de voir comment les différents types de cuirs réagissent à cette mise en mouvement.
J’aimerais aussi me détacher du mur et de réussir à mettre en volume le dispositif en créant un motif pour les chutes. Motif qui mettra en valeur les mouvement mis en place par les moteurs.
Pour finir, les vibrations seraient faites en fonction de la proximité des utilisateur.
Plus la machine est oppressée plus elle réagit.
