Pour ce projet, j’ai imaginé un luminaire dont la structure principale serait en cuir avec des chutes récupérées. Celle-ci serait amenée à s’onduler grâce à des cordages noués à plusieurs moteurs qui les tireraient. En dessous de ce mécanisme, ma forme en cuir, une forme organique inspirée de la nature et de la flore sous-marine, une morphogenèse qui deviendrait vivante grâce à l’électronique. Ici, le cuir apporte une certaine tenue à la forme ; sa rigidité structure la lampe, mais sa souplesse permet le mouvement, donnant cette impression de quelque chose de vivant. En dessous de ce module sera suspendu par un câble principale menant à l’alimentation, une lumière circulaire, qui éclairerait par le dessous la forme afin d’ainsi projeter son ombre vivante.
J’ai tout d’abord commencé par faire des recherches sur le cuir ; les types de cuir, coupent assouplir, nourrir le cuir, quelles techniques pouvons nous aborder pour la couture, l’impression, la découpe, comment pouvons le transformer. De premier abord la technique du tressage et du maillage ainsi que la couture sellier m’intéressait mais en réfléchissant comment lier l’électronique avec le cuir d’autres d’idées m’ont amener à travailler le cuir de manière plus organique et sensible, avec un côté esthétique assez fort.
Brouillon technique du fonctionnement maquette/électrique
MES INSPIRATIONS
François Azambourg – Chaise cuir/ Verre soufflé pour Hermès
Neri Oxman
Iris Van Herpen
Ernst Haeckel
Hermès objets
MES RECHERCHES SUR LE CUIR
Ici le modèle 3D du support pour les 3 moteurs